« Je veux apprendre, savoir et partager. Le partage est super important ». C’est dans cette optique que Goody, la fondatrice de la marque Foody Goody qui porte sur son packaging un symbole Adinkra, un proverbe de vie de l’apprentissage continue, s’est lancée en créant sa sauce jollof. Ce trésor national ghanéen qu’elle souhaite faire découvrir au monde.
« Les saveurs originelles de la sauce jollof »
A l’ère de la mondialisation des gastronomies et surtout au moment où le monde semble s’ouvrir aux gastronomies africaines, l’entrepreneuse a décidé de partager l’un des patrimoines culinaires de l’Afrique de l’ouest. Et de participer à sa manière à cet essor en faisant « découvrir les bonnes choses que nous avons sur le continent, précise la franco-ghanéenne, soucieuse de rendre plus exhaustive, la section Afrique des étalages de la Grande Epicerie de Paris ». Alors elle a commercialisé un produit professionnel savoureux à base de produits sains, de tomates de France et surtout sans exhausteur qui « met en valeur les saveurs originelles de la sauce jollof avec la version douce ».
La sauce jollof est la base pour réaliser le jollof rice
Au premier nez, les sens sont chatouillés par des arômes d’herbes aromatiques et de tomate avec la sauce jollof de Foody Goody. La première impression gustative est celle d’une sauce tomate savoureuse suivie de saveurs de plus en plus intenses en bouche. Il y a des notes de romarin, de paprika et bien sûr de tomate. « Le jollof est d’abord une question de saveur et non pas juste une autre sauce africaine pimentée » tient à préciser l’entrepreneuse. Puisque cette sauce jollof, trésor naturel et tradition ancestrale du Ghana, est la base pour réaliser le jollof rice, en français le riz jollof. Ce plat festif et convivial emblématique de son Ghana natal.
« Le jollof est un héritage commun »
Pour cette directrice en transformation digitale dans un groupe international, « il y a autant de recettes de jollof rice qu’il n’y a de personnes » souligne-t-elle. Avec sa sauce prête à l’emploi, « on a toujours le même jollof rice. C’est vraiment inratable » affirme-t-elle en riant. « Le jollof est quelque chose d’ancrer dans la culture d’où ces guéguerres d’appropriation » mentionne-t-elle. Il y a même des concours pour élire le meilleur jollof à Paris. Et cette année, devinez le pays sur le podium ? C’est le chef Stephen Tsidi, un ghanéen qui l’a emporté face au chef nigérian.
« Le jollof est un héritage commun » que Goody offre en cadeau au monde avec sa sauce jollof toute prête à l’utilisation. Je dépose ça ici* seulement.